6 oeuvres plus les dessins préparatoires de la Cène, c'est évidemment incontournable.
20 ans passés à Milan pour 5 oeuvres et deux chef-d'oeuvres.
C'est peu, mais il s'agit de Léonard alors c'est bcp.
Oui mais 20 ans c'est long.
Il faut donc creuser d'avantage cette période.
Période extrêmement productive si on veut bien jeter un coup d'oeil à l'architecture, à la sculpture et le fameux cheval. Michel-Ange avait tort de se moquer de son aîné, lui non plus n'a pas su venir à bout de son grand oeuvre.
Jeter un oeil aussi à l'anatomie, la géologie, l'hydraulique, aux fêtes, au Paragone.
Tout un programme.
J'aime à détester La Joconde pour apprécier son auteur, il faudrait aussi snober Florence pour redécouvrir Milan.
Réduire la période milanaise, celle de la maturité, aux arts plastiques seulement est un parti pris dicté par les contraintes d'une expo.
Ce ne peut être un choix culturel, un filtre, si non on commet une erreur.
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