Depuis un an je bosse sur le renoncement à la chair de Léonard. Pour terminer une piste commencée avec Freud et Wittkower sur la morale stoïcienne de Léonard. Chacun d'entre nous est un tant soit peu guidé par des valeurs, une éthique et le maître de la Vierge aux rochers ne fait pas exception.
Cette année pas d'Italie, pas de cols alpins, cette année c'est Dieppe pour les vacances. Et entre Penly et Paluel une relecture s'impose L'aiguille creuse de Leblanc. Mort en 41 il sera du domaine public l'année prochaine. J'ai voulu l'acheté en poche d'occase sur le marché samedi, niet. C'est fou. Le marchand devrait en avoir 10, 100, en français , en anglais, en allemand, il y en a plein des teutons et des tommys mais non. Alors j'ai récupéré une version PDF, les autres formats étant Forbidden si votre adresse IP sent la France.
Je savais ne pas en avoir encore fini avec Epictète, Cicéron et Zénon, mais quand page 203 je lis : Quand il se réveilla, Lupin lisait. Beautrelet se pencha pour voir le titre du Livre. C'était Les lettres à Lucilius, de Sénèque le philosophe.
Je suis scié.
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