Sur le site de la bibliothèque nationale de Pologne la péremption n'est pas la mise.
On s'interroge encore sur la pertinence d'une attribution à Léonard de Vinci d'une page arrachée d'un ouvrage de la Renaissance milanaise.
Au JT de France 2 hier soir on est moins circonspect et on prend pour argent comptant les dires de Pennicot : "une empreinte palmaire c'est pas comme une empreinte digitale, on ne la traite pas comme pourrait le faire la police scientifique"
Ah bon pourquoi ?
Eh bien il faut en parler avec les services du Pr Capasso de Chieti. Visiblement il n'est pas du même avis.
Si on fait un traitement spéciale pour les empreintes palmaires partant du seul principe que seul Léonard à apposé sa paume sur tableau eh bien la Madone de Laroque est du Vinci, car il y a sur ce tableau une empreinte palmaire.
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