samedi 28 mai 2011


Sur le chemin de Vichy, Moulins.
Plutôt sinistrée, la ville.
Le commerce semble à l'agonie, les pensionnaires n'ont q'une envie rentrer chez eux, et les autres ados de faire des conneries pour tuer le temps.
Alors pourquoi ce détour ? Pour un retable.
Celui du maître de Moulins, des maîtres de Moulins seraient plus juste.
Quand l'amateur passionné, gardien des lieux et du tableau ouvre le triptyque l'effet est garanti. On en prend plein la vue et il est assez difficile dans un premier temps de poser son regard.
Après une période d'assimilation il est possible d'analyser le chef-d'oeuvre et d'en distinguer les différents thèmes, les différentes mains.
Je n'ai encore rien lu sur le sujet, mais je ne pouvais m'empêcher de penser au livre De David Hockney sur les technique perdues des maîtres anciens.

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