dimanche 18 décembre 2011
Léonard de Vinci sur ipad et iBooks.
mercredi 30 novembre 2011
Le Salvator Mundi de Léonard de Vinci...ou pas.
lundi 28 novembre 2011
Ebook Michel-Ange
samedi 26 novembre 2011
Pange, lingua et Léonard de Vinci
C'est pour les Dominicains, les commanditaires de la Cène de Léonard, l'équivalent de Kashmir pour les fans de Led Zeppelin, dont je suis. Mais de guitare électrique aux alentours de 1490, point. Alors pour accompagner un diaporama sur le chef-d'oeuvre du Vinci la prière de saint Thomas d'Aquin c'est bien. Pour un face à face avec le Christ et ses apôtres c'est même mieux.
C'est dans Voyages en Italie du Nord, un ebook chez tous les bons libraires ou presque.
Si Eiffel s'était inspiré de Léonard de Vinci
jeudi 24 novembre 2011
Vinci et la Madone de Laroque.
Seulement voilà, dans ce concert du n'importe quoi cette attribution passe pour fantaisiste. C'est dommage.
dimanche 20 novembre 2011
Ebooks Léonard de Vinci
jeudi 17 novembre 2011
Léonard de Vinci et l'argent
Ebook Léonard de Vinci
Locarno (ça commence mal c'est en Suisse)
idem pour Ponte Capriasca
Milan (ouf)
Intro
Eglises (5 items)
Sites (12 items)
227 pages
Venise
Lieux et monuments (5 items)
Musée (1 item)
Eglises (1 item)
Terre Ferme (1 item)
75 pages
C'est la V1 la V2 pour je ne sais pas quand, avant l'expo Léonard au Louvre ainsi que toutes les mises à jour sur les précédents ouvrages. Et il y en a plein.
samedi 5 novembre 2011
Léonard l'oriental.
Une exception pour quelques lignes de Paulin Césari, osant citer les origines de la mère de Léonard, esclave te orientale.
J'avais il y a déjà deux ou trois essayer de mettre cette information à dispo sur Wikipédia. Censure. Les maraudeurs, ces fous de wikipédia, comme il existe des fous de Dieu, sont racistes sûrement.
Imaginez l'incarnation du génie universel fils d'une esclave arabe. C'est trop pour leur petit cerveau.
C'est l'histoire d'un livre.
Une copie est retrouvée dans une abbaye en Allemagne. On en fait des copies manuscrites. Peu. Une d'entre elles est à Florence, je vous la fait courte, dans la bibliothèque Laurentienne construite par Michel-Ange.
Alors quand on nous saoule avec la dette des grecs, on devrait leur être redevable à vie de nous avoir légué de tels mecs.
lundi 17 octobre 2011
Pourquoi la Belle Princesse n'est pas de Léonard. Suite mais pas encore Fin, pour bientôt quand même ;-)
Des proportions.
Dans cette approche géométrique, pages 50 et 51 de l’ouvrage de Kemp et Cotte, la démonstration ne va pas au-delà des chiffres dont on a besoin pour justifier une pratique léonardienne des canons de la peinture.
Le texte entier va évidemment plus loin. Il commence avec les segment AB, ignorés par nos deux compères ( seuls sont inclus pour la démonstration les segments CD, EF, GH et IK), et continu jusqu’au segment VX. Il inclus ainsi la gorge, sujet de débat avec le conservateur des peinture du Louvre Jacques Franck.
Ce dernier a raison il faut pousser la démonstration jusqu’à son terme, et ne pas laisser de côté ce qui embarrasse. Relever les erreurs, si elles existent.
On peut aussi pousser l’exercice plus loin et s’amuser à voir si Léonard est cohérent avec lui-même, appliquer aux autres portraits ce canon soit disant léonardien et celui de Vitruve aussi, dont il se fait l’écho évidemment dans la célèbre représentation conservée à Venise, mais aussi dans une note, copie du livre III de l’architecte Romain.
Si on met en avant une démarche scientifique il faut l’assumer de A à Z.
Si non on peut aussi s’amuser avec les traditions d’atelier livrées par Cennino Cennini, un artiste du trecento : « …, le visage est divisé en trois parties, c’est-à-dire la première le front, la deuxième le nez, la troisième du nez au menton….
L’autre élément extrêmement gênant est le pentimenti de la coiffure. Le terme est joli, on le traduit par repenti en français. Lourd de sens. Celui de la coiffe est tellement grossier que l’on est en droit de se poser une question : Léonard était-il bourré ce jour là ?
On est en 1490-95. Léonard à passer des années sur les proportions des chevaux, il a établi un canon : la testa, il est dans sa période de maturité, il a peint trois portrait : Le Musicien, la Dame à l’Hermine, dont l’attribution a été longtemps controversée, la Belle Ferronnière et s’attaque à La Cène (1494) et on veut nous faire croire que le grand Léonard aurait pu commettre une telle erreur, celle d’un apprenti. Stop. Un peu de respect pour l’œil du maître SVP.
Texte entier de Léonard sur les proportions :
« L'espace entre la ligne de la bouche et la naissance du nez a b représente le septième de la face.
La distance de la bouche au bas du menton c d représente le quart de la face, et elle est égale à la largeur de la bouche.
La distance du menton à la naissance de la base du nez équivaut au tiers de la face, et elle est égale au nez et au front.
L'intervalle entre le milieu du nez et le bas du menton g h représente la moitié de la face.
L'espace entre la naissance du sommet du nez où commencent les sourcils, i k, jusqu'au bas du menton, équivaut aux deux tiers du visage.
L'intervalle entre la ligne de la bouche et le commencement du menton l m ci-dessus, - c'est-à-dire l'endroit où il confine à la lèvre inférieure, - est le tiers de la distance séparant du bas du menton la ligne de la bouche, et représente la douzième partie de la face.
La distance du haut au bas du menton m n forme le sixième de la face, et la cinquante-quatrième partie de l'homme.
De la pointe du menton à la gorge o p, l'intervalle est le même que de la bouche au bas du menton, et il constitue le quart du visage.
L'espace entre le sommet de la gorge et sa naissance q r, est la moitié de la face et la dix-huitième partie de l'homme.
Du menton à la nuque s t, la distance est la même que de la bouche à la naissance des cheveux à savoir les trois quarts de la tête.
Du menton à la mâchoire, v x, l'intervalle est d'une demi-tête, et équivaut à l'épaisseur du cou, vu de profil.
Le diamètre du cou entre pour une fois et trois quarts dans la distance qui sépare les sourcils de la nuque. »
jeudi 13 octobre 2011
Des Sforziades au Paragone.
« Le 23ème jour d’avril 1490 j’ai commencé ce livre et recommencé le cheval » LDV.
Le cheval dont il est question est un groupe équestre monumental à la gloire des Sforza, il est le pendant des Sforziades, ce panégyrique à la gloire du premier d’entre eux : Francesco ; il est le pendant du trombinoscope des ducs peints dans une salle du château de Milan. Pour légitimer leur pouvoir, les Sforce font feu de tous bois. Pour légitimer leur position à la cour les artistes aussi.
Traduite en langue vulgaire par Cristoforo Landino le De gestis Francisci Sphortiae de Simonetta est entre les mains de Léonard. Il peut y lire dans la préface rédigée par Francesco Puteolano une attaque virulente sur les arts figuratifs inférieurs aux lettres, à la littérature, pour glorifier et perpétuer la mémoire des grands de ce monde.
Le débat n’est pas nouveau, mais l’homme sans lettre, comme le Vinci se qualifie lui-même, se doit de réagir car sa position au sein des artistes rémunérés par le More reste fragile.
Pour réponde aux attaques il emploie la plume et rédige une série de textes sur la supériorité de la peinture versus la musique, la littérature, la sculpture. La dispute enflamme les esprits et des années plus tard, Vasari et Michel-Ange y participeront, mais là n’est pas sujet.
Le Paragone, une sélection de textes du Manuscrit A de l’Institut est né.
Si la Belle Princesse avait été de la main de Léonard, Puteolano l’aurait sûrement mentionné comme exemple ; je suppose.
Si la Belle Princesse avait été de la main de Léonard, celui-ci n’aurait pas manqué de comparer son portrait, plus éloquent à perpétuer le souvenir de la jeune fille, avec les lignes écrites à son sujet. Et là je ne suppose plus. Car Paragone veut dire comparaison, c’est l’essence même du procédé employé par Léonard pour se défendre.
Et le Paragone, ne contient aucune allusion de près ou de loin au portrait. C’est plus que troublant.
mardi 11 octobre 2011
C'est louche de plus en plus.
Les Sforziades sont un panégyrique à la gloire du fondateur de la dynastie Sforce, François (1401-1475). Trois éditions sortirent des presses d’Antonio Zarotto (1482, 1486, 1490) et la dernière fit l’objet d’une impression spéciale sur vélin pour les membres de la famille ducale. Chacune est spécifique décorées par des enluminures de Giovanni Pietro Birago, un miniaturiste documenté à la cour de Milan.
Chaque miniature, en dépit de traits communs, est liée aux évènements et spécificités de chaque branche de la famille à laquelle l’ouvrage est destiné.
La copie de Ludovic est conservée à la Brtish Library.
La copie de Gian Galeazza Sforza, père de la reine Bonne de Savoie, est conservée à la BNF.
Un exemplaire très endommagé de la branche Sforce de Pavie a été retrouvé aux Offices de Florence.
A Varsovie est conservé une copie attribuée par les plus récente recherche au duc Gian Galleazzo Sanseverino, gendre de Ludovic. C’est l’unique exemplaire signé par l’auteur des miniatures : P[re]SB[yte]R IO[annes] PETR[us] BIRAGUS FE[cit].
Et comme par hasard c'est l'ouvrage dans lequel on trouve un oeuvre de la main de Léonard.
On peut toujours nous prendre pour des andouilles, un mot souvent utilisé à mon égard, mais il existe des bornes aux limites.
Un portrait hiératique.
Pour aller plus loin dans notre analyse d’une non attribution de La belle Princesse à Léonard, il faut pénétrer un peu dans son univers ?
Il vient à Milan dans les années 1481-82 et la première œuvre de cette période est la Vierge aux rochers. Elle est refusée par les commanditaires pour au moins deux raisons ;
- Le programme iconographique ne respecte les souhaits de la communauté religieuse signataire du contrat.
- Léonard et ses associés estime avoir fourni un travail valant plus cher (je la fait courte).
S’ensuit un litige qui traînera pendant une vingtaine d’années.
Florentin le Vinci s’impose à Ludovic le More par son talent et l’aura des artistes des bords de l’Arne. En parallèle de la rédaction des Sforziades, Ludovic reprend à son compte le projet d’un groupe équestre à la gloire de Francesco Sforza, son père, pour justifier sa légitimité au pouvoir.
Il ne choisit pas Léonard, c’est ce dernier qui s’impose. On connaît le fameux CV où il propose de réaliser le monument. On connaît aussi une lettre où il se compare à Ghiberti, le sculpteur des portes du Baptistère de Florence. Il est l’élève de Verrocchio il est sûr de son savoir, il est sûr de ne pas avoir de concurrent. Et quand Le More veut changer de sculpteur, il le demande à Laurent de Médicis, il ne le peut pas.
Idem pour La Cène de Sainte-Marie des Grâces, inscrite au patrimoine mondiale, idem pour la décoration de la Sala Delle Asse du château de Milan, Léonard insupporte ses commanditaires. Son caractère fantasque dérange, Ludovic ou le prieur s’en plaignent. Ils sont quasiment impuissants.
Il est alors difficile de suivre Kemp dans sa démonstration d’un portrait de profil correspondant au canon de l’école lombarde, de l’aristocratie Milanaise.
Léonard ne se laisse pas dicter ses choix. Aucun de ses portraits n’est de profil, et ce n’est pas Isabelle d’Este qui pourra le faire changer d’avis non plus.
Léonard impose ses vues et non le contraire.
jeudi 6 octobre 2011
La Belle Princess c'est louche.
Et Kemp pour argumenter la technique employée par Léonard appelle à la rescousse Jean de Paris (Guides MAF, La France de Léonard) dont la première visite en milanais date de 1494: Apprend le pastel de de Jean de Paris écrit-il. Conclusion Léonard en 1490 ne maîtrise pas la technique du portrait sur vélin. Par contre Giovanni Pietro Birago l'auteur identifié car mentionné des illustrations peut-être.
C'est louche ;-)
lundi 3 octobre 2011
13 raisons pour attribuer la Madone de Laroque à Léonard de Vinci.
A l'aune des nouvelles approches scientifiques rien ne nous empêche aujourd'hui de déclarer le tableau autographe.
1) Il existe une empreinte palmaire, comme sur les portraits de la Dame à l'Hermine, comme sur celui présumé de la Belle Princesse. Car quand une empreinte palmaire existe elle est forcément de Léonard dixit Lumière Technology au JT de 20 heures sur France 2 le 2/10/2011.
2) Les examens au carbone 14 sont OK
3) Les examens des pigments sont OK (analyses et contre analyses)
4) Les entrelacs vinciens, ceux du diadème de la Madone, sont OK, comme ceux de la robe de la Belle Princesse.
5) On peut procéder à la désattributtion : Maître de la Madone de Laroque faite par A Vezzozi, ou Giampetrino faite C Geddo pour une attribution à Léonard (c'est dans l'air du temps, voir le Salvator Mundi).
6) Le tableau a été consacré en l'église de Vinci et la foule des vinciens s'est recueillie acceptant cette oeuvre comme celle de leur illustre concitoyen (faits véridiques).
7) 420 000 Japonais se sont déplacés pour la voir à Tokyo et ils ne sont pas plus stupides que 420 000 français se rendant au Louvre pour une expo léonardienne passée ou à venir.
8) Retrouver un tableau du maître en France n'est pas une surprise. Il suffit de connaître les liens étroits entre la France et Florence, entre Léonard et le pouvoir des rois très Chrétiens pour ne pas s'en étonner.
9) Le motif de la vierge allaitante est attesté par des esquisses de la main de Léonard notamment un très joli dessin à Windsor.
10) Le sourire de la Vierge, nettement plus visible sur les clichés UV ou IR, est une marque d'atelier reconnu par tous les experts.
11) On s'est toujours posé la question d'une seconde Madone, pendant de celle de Robertet, citée dans les notes de Léonard. La Madone de Laroque est une réponse.
12) Seul Léonard pouvait osé peindre à tempéra sur toile à l'époque, Botticelli aussi mais on est sûr qu'il ne s'agit pas d'une oeuvre du peintre du Printemps (pas le magasin, le tableau exposé aux Offices ;-)).
13) Jamais 2 sans 3 après le Salvator Mundi et la Belle Princesse, la Madone de Laroque est la dernière pièce à verser au dossier des autographies léonardienne.
La Madone de Laroque est de Léonard de Vinci
mercredi 28 septembre 2011
La Belle Princesse
dimanche 31 juillet 2011
Lupin Stoïcien lui aussi ?
Depuis un an je bosse sur le renoncement à la chair de Léonard. Pour terminer une piste commencée avec Freud et Wittkower sur la morale stoïcienne de Léonard. Chacun d'entre nous est un tant soit peu guidé par des valeurs, une éthique et le maître de la Vierge aux rochers ne fait pas exception.
Cette année pas d'Italie, pas de cols alpins, cette année c'est Dieppe pour les vacances. Et entre Penly et Paluel une relecture s'impose L'aiguille creuse de Leblanc. Mort en 41 il sera du domaine public l'année prochaine. J'ai voulu l'acheté en poche d'occase sur le marché samedi, niet. C'est fou. Le marchand devrait en avoir 10, 100, en français , en anglais, en allemand, il y en a plein des teutons et des tommys mais non. Alors j'ai récupéré une version PDF, les autres formats étant Forbidden si votre adresse IP sent la France.
Je savais ne pas en avoir encore fini avec Epictète, Cicéron et Zénon, mais quand page 203 je lis : Quand il se réveilla, Lupin lisait. Beautrelet se pencha pour voir le titre du Livre. C'était Les lettres à Lucilius, de Sénèque le philosophe.
Je suis scié.
samedi 30 juillet 2011
La chasse au chef-d'oeuvre
L'histoire ressemble à celle de la Madone de Laroque. Elle peut sembler pathétique, mais au contraire elle est formidable. Un couple d'Allemands pense avoir trouvé une œuvre perdue de Léonard, ils y consacrent tout leur temps depuis des années et tout leur argent, tant que maintenant ils sont couverts de dettes et le tableau saisi.
Dans leur quête ils croisent des spécialistes. Un y croit, mais il s'est déjà trompé sur une attribution, d'autres n'y croient pas.
Il manque l'essentiel en fait, un document, bon de commande, témoignage contemporain, testament, catalogue.
Des dizaines de personnes par an pensent avoir acquis, hérité un tableau du maître de la Joconde. Pourquoi lui, et pas un autre ?
Dans le cas de la Madone de Laroque ou de cette Madone Immaculée, pour évacuer le problème posé par cette attribution on va aller du côté d'un élève, d'un épigone, ils ne manquent pas : Luini, Oggiono, Giampetrino, Salaï, Boltraffio etc..
Et quand on ne sait pas ou quand on n'ose pas "le maître de" est un sésame bien utile .
C'est là une occasion à ne pas manquer, si un spécialiste vous refuse le maître, le vrai, l'incomparable, pour diverses raisons, l'argent n'étant pas la dernière, acceptez le petit maître. Vous rentrerez alors dans l'ombre du géant, c'est l'essentiel. Avec de la patience vous pourrez un jour voir votre tableau passez de l'ombre à la lumière. Pourquoi ?
Il est difficile d'imaginer ne pas découvrir encore des travaux de la main de Léonard. Il y en a trop peu pour un si grand peintre, et les expositions sont les meilleurs opportunités pour voir une brochette de conservateurs, experts se poser la question : Et si le Luini, le Boltraffio ou le maître de la Madone n'était autre que le père de la Vierge aux rochers !mardi 26 juillet 2011
Rich média
lundi 25 juillet 2011
Léonard de Vinci en Lombardie
samedi 9 juillet 2011
Un nouveau, nouveau Michel-Ange ?
samedi 25 juin 2011
Une surprise à Londres
vendredi 24 juin 2011
La Joconde à Florence ?
samedi 18 juin 2011
Bac Philo ES
mercredi 1 juin 2011
Bataille de Cascina
samedi 28 mai 2011
lundi 16 mai 2011
Faut-il exhumer les restes d'une femme pour ...
dimanche 15 mai 2011
Léonard à Milan
samedi 14 mai 2011
Benoît XVI et Michel-Ange
mardi 10 mai 2011
Léonard à Londres
jeudi 28 avril 2011
Mona Lisa, Bones et les Experts
lundi 25 avril 2011
Ben mon vieux
“An estimated 764,448 titles written by entrepreneurs and other nontraditional authors were published in the U.S. in 2009, including reprints. That’s more than double 2008’s figure and six times as many as in 2007.”
Extrapolating the trend by far in excess of 1 million people in the United States will have written a book in the past twelve months.
Ils en ont des choses à dire, ils en ont un besoin de reconnaissance.
Gratuité , auto-édition, deux phénomènes liés au livre numérique dont l'impact n'est pas encore mesuré, voire mesurable.
mercredi 20 avril 2011
La Dame à l'Hermine
vendredi 11 mars 2011
Le David en danger ?
mardi 1 mars 2011
Léonard en mode enrichi et après ?
vendredi 4 février 2011
Le corpus Léonardien
lundi 31 janvier 2011
Léonard, pas Léonard, 7 M$ ou pas ?
jeudi 20 janvier 2011
Découverte d'un dessin égaré de Léonard
mardi 18 janvier 2011
La Vierge aux rochers de Léonard de Vinci
dimanche 9 janvier 2011
Le choix d'une couverture
Sûrement. Lisent-ils l'ouvrage à promouvoir, vendre, il faut le souhaiter.
L'auteur participe-t-il au choix ?
Pas sûr, dommage car toutes les pages, de la première à la dernière font l'oeuvre, sont le reflet de son travail de sa créativité.
Quand celle-ci est-elle conçue ?
Pour La Toscane de Michel-Ange, pas encore terminé, s'est imposée comme une évidence la Sibylle de Cumes.
Pourquoi un tel choix ?
Pour Dante, le poète auquel parfois s'identifie le sculpteur, Virgile est un guide.
Pour l'auteur de l 'Eneide le choix se porte sur la sibylle, celle représentée par M-A au plafond de la Sixtine, celle au sol de la cathèdrale de Sienne devant les statues du "divin", celle de saint Augustin etc.
Alors par transitivité de Virgile à Dante, et de Dante à M-A, la guide du premier s'est imposée pour le guide du dernier.